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Affirmez vos positions !

Camarade,

 

Utilise les tracts et les articles de ce blog, ils ne sont la propriété de personne, ils ne font que refléter  les positions  d'une classe qui vit, qui lutte pour supprimer sa propre condition de salariée. Diffuse ces textes, discute-les, reproduis-les. 

Soyons le ferment ouvrier révolutionnaire et  lançons  nous  à l'assaut  du capitalisme qui  nous  exploite et nous opprime du nord au sud  de  l'est  à l'ouest !

PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSEZ VOUS,
SUPPRIMEZ
LES ARMEES, LES POLICES, LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIERES, LE TRAVAIL SALARIE !
ARMES, POUVOIR, ECONOMIE AU PROLETARIAT !

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Les Nôtres

Ses camarades qui ne sont plus, mais qui par leur travail de militants révolutionnaires sont et seront, enrichissant par-delà de nous la mémoire accumulée de toute leur expérience de lutte, cuirassant le futur afin de nous armer dans nos combats jusqu'au triomphe de la révolution sociale pour qu’enfin se réalise la véritable communauté humaine. Vive la  révolution sociale !

 

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2 mars 2016 3 02 /03 /mars /2016 23:09

VIVE LA GRÉVE GÉNÉRALE

Le capitalisme français, administré politiquement par la social-démocratie, a décidé de manière formelle d’autoriser les licenciements sans aucun motif, d’augmenter les heures de travail, de baisser les charges patronales, de précariser les emplois, de nous faire bosser le dimanche, de diminuer les indemnités de chômage, d’augmenter l’âge du départ a la retraite pour ne percevoir qu’une aumône, de diminuer en catimini les diverses prestations sociales…

.

Cette clique de bourgeois qui veulent nous présenter leur politique “sociale “comme “des avancées qui vont dans le bon sens“ et elle consiste en quoi ces avancées à verser des centaines de millions d’euros, sous des formes diverses, aux patrons de l’industrie et leurs actionnaires. Non-rien n’a changé dans la gestion du capitalisme qu’elle soit gérée par la Social-démocratie ou par les Républicains-démocrates, le discours et les faits sont les mêmes, tous s’accordent (gouvernement, opposition, patronat, État, syndicats) approuvent sinon sur les modalités, et la quantité, tout au moins sur la nécessité d’ouvrir la vanne aux licenciements pour permettre à l'appareil industriel de la France de s’automatiser, de se robotiser ,de se moderniser, pour qu'elle soit compétitive sur le marché capitaliste mondial et de fait créer encore plus de chômage en nous jetant à la rue comme des marchandises excédentaires...

...NE LAISSONS PLUS PERSONNE NÉGOCIER A NOTRE PLACE

Alors, pour stopper l’hémorragie, une solution s’impose : mais ce n’est certainement pas faire appel à la légitimité du droit bourgeois pour régenter “un capitalisme a visage humain“ ni le “contrôle des comptes des entreprises par les ouvriers“ cheval de bataille de tous les opportunistes qui voudrais faire des ouvriers des garants du bon fonctionnement du capital allant peut-être même jusqu'à planifié les licenciements de leur frère de classe ...

...LES PETITS BOULOTS = LES GRANDES MISÈRES

Non la solution qui s’impose est celle d’en finir de ce système nauséabond, de la nécessité d’une révolution sociale, de la prise du pouvoir par la classe ouvrière pour qu’elle prenne enfin son destin en main pour instaurer une économie basée sur les besoins réels de l’humanité et non sur l’accumulation des richesses !

Le devoir des révolutionnaires n’est pas de chialer leurs jérémiades sur le sort qui s’abat sur le dos de la classe ouvrière mais bien d'en appeler en a ce que celle-ci est historiquement contrainte de faire. Pour cela, il n'y a qu’une seule solution, une lutte unifiée de l’ensemble de la classe ouvrière, pour une lutte unifiée au-delà des corporatismes qui devra embraser tous les pays d’Europe par-delà en rejetant tous les chauvinismes. À l’heure ou le capitalisme se déplace à vitesse de la lumière, ou la nation n’est plus qu’une unité de marchandise – d’esclaves à exploiter ou à mettre au rebut, il est criminel de continuer.

...VOTRE ÉTAT D’URGENCE N’EMPÊCHERA PAS NOTRE VIOLENCE

Une chose doit être claire pour nous : sans notre soumission, ils ne sont rien. Lorsque nous agissons, ils tremblent. Lorsque nous nous organisons par nous-mêmes en dehors et contre les syndicats (collabos, apôtres du consensus, de la négociation, bref de la paix sociale), malgré leur "respectabilité démocratique", ils emploient la force de leur État, preuve s'il en est, de la crainte et de la haine qu'ils ont pour ceux d'en bas. . Il faut renouer avec la lutte de classe, qui n'admet pas de camisole de force.

* Il faut refuser les sempiternels bavardages sur les impossibilités "momentanées" qu'aurait l'économie à satisfaire nos revendications. Nous avons que trop donner !

* Il faut refuser tout licenciement, non parce qu'on se complaît dans l'esclavage, mais parce qu'on est solidaire de nos frères de classe, tant que les classes ne seront pas abolies par notre force.

* Indépendamment de la conjoncture économique, nous devons réclamer moins de travail et plus de salaires réels, par la répartition du travail entre tous, sans diminution de salaire...

* Il faut, lorsqu'une grève éclate, refuser de s'enfermer sur le lieu de travail. La solidarité de nos frères de classe se gagne par la lutte et dans la rue. .

La" conscience révolutionnaire de classe ne tombe pas du ciel, elle s'acquiert par le combat sans trêve contre l'ennemi qui ne nous considère que comme une masse malléable. Y en a marre des grèves spontanées que ces mêmes appareils, qui par la magouille arrivent à stopper et à vider de leur contenu.

Revendiquer, oui, mais pour ne plus avoir à le faire. Nous devons tous contribuer à l'union grandissante du prolétariat. Nous devons créer le rapport de force nous permettant d'en finir internationalement avec le travail salarié, les classes sociales et les frontières !

Tract libre

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