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Affirmez vos positions !

Camarade,

 

Utilise les tracts et les articles de ce blog, ils ne sont la propriété de personne, ils ne font que refléter  les positions  d'une classe qui vit, qui lutte pour supprimer sa propre condition de salariée. Diffuse ces textes, discute-les, reproduis-les. 

Soyons le ferment ouvrier révolutionnaire et  lançons  nous  à l'assaut  du capitalisme qui  nous  exploite et nous opprime du nord au sud  de  l'est  à l'ouest !

PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSEZ VOUS,
SUPPRIMEZ
LES ARMEES, LES POLICES, LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIERES, LE TRAVAIL SALARIE !
ARMES, POUVOIR, ECONOMIE AU PROLETARIAT !

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Les Nôtres

Ses camarades qui ne sont plus, mais qui par leur travail de militants révolutionnaires sont et seront, enrichissant par-delà de nous la mémoire accumulée de toute leur expérience de lutte, cuirassant le futur afin de nous armer dans nos combats jusqu'au triomphe de la révolution sociale pour qu’enfin se réalise la véritable communauté humaine. Vive la  révolution sociale !

 

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 00:00

 

Aujourd'hui à nouveau, le capitalisme vomit sa barbarie. La crise déchaîne la férocité des capitalistes, la terreur d'Etat se renforce. Et la bourgeoisie voudrait que docilement le prolétariat se laisse museler, concède à faire des sacrifices pour satisfaire les appétits menacés de leurs exploiteurs. Un siècle après les grandes grèves prolétariennes pour imposer la journée des 8 heures, nous vivons toujours comme des forçats obligés de nous vendre dans les bagnes du travail et les syndicats, ces flics du patronat, cassent nos grèves, brisent nos luttes,... au nom d'une soi-disant lutte contre le chômage, ils font passer l'attaque des salaires, l'intensification du travail, les licenciements, l'extension du travail précaire, les exclusions du chômage,...

La situation catastrophique de l'économie bourgeoise ne peut en rien entraver nos luttes. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas la réforme de l'Etat de ce système barbare, ni sa version socialiste, ni stalinienne, ni mélenchoniste, ni chrétienne, ni fasciste,... mais sa destruction de fond en comble. Aujourd’hui nous avons affaire a une bourgeoisie aux abois (gauche et droite confondues), qui s’affrontent par nation interposée, dans une surenchère de propos chauvins, nationalistes, haineux, ils veulent à nouveau nous entraîner dans une guerre impérialiste mondiale, répondons en intensifiant nos luttes contre toutes les fractions de la bourgeoisie, contre tous les Etats capitalistes de l'ouest comme de l'est. Pour avoir la force de détruire la bête capitaliste, ses guerres, sa misère généralisée, notre condition d'esclave salarié, il nous faut dès maintenant préparer nos luttes futures à travers le monde entier. Il faut nous organiser en dehors et contre les organes bourgeois que sont les syndicats. Il nous faut réapprendre à utiliser nos armes de classe: la grève sauvage, sans préavis ni limitation d'aucune sorte; l'autodéfense ouvrière, l'armement des piquets, le sabotage de la production des stocks. Il nous faut généraliser nos luttes, nous unir au-delà des barrières capitalistes, au-delà des différences de nationalité, de sexe, de statut, au-delà des divisions sectorielles, des frontières régionales, nationales,... Nous devons refaire des 1er mai une journée de solidarité internationale, unissant tous les combats ouvriers du monde entier, en un front de classe capable de repartir à l'assaut du monde. Face aux puissantes forteresses que la bourgeoisie a édifiée et édifie encore pour la défense de sa société d'exploitation, il faut nous organiser en force révolutionnaire internationale, centralisée et centralisatrice, en parti mondial de la révolution. À l'Etat capitaliste, son parlement, ses élections, ses partis, ses syndicats, opposons notre propre organisation en classe, pour la défense de nos intérêts. Au développement de la répression anti-ouvrière, à la violence bourgeoise, répondons par l'action directe, l'organisation de la violence ouvrière. Contre l'hystérie nationaliste et les campagnes de préparation à la guerre, hissons le drapeau du défaitisme révolutionnaire, de l'internationalisme prolétarien.

Reprenons les combats des 1er mai révolutionnaires.

 

 

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