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Affirmez vos positions !

Camarade,

 

Utilise les tracts et les articles de ce blog, ils ne sont la propriété de personne, ils ne font que refléter  les positions  d'une classe qui vit, qui lutte pour supprimer sa propre condition de salariée. Diffuse ces textes, discute-les, reproduis-les. 

Soyons le ferment ouvrier révolutionnaire et  lançons  nous  à l'assaut  du capitalisme qui  nous  exploite et nous opprime du nord au sud  de  l'est  à l'ouest !

PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSEZ VOUS,
SUPPRIMEZ
LES ARMEES, LES POLICES, LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIERES, LE TRAVAIL SALARIE !
ARMES, POUVOIR, ECONOMIE AU PROLETARIAT !

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Les Nôtres

Ses camarades qui ne sont plus, mais qui par leur travail de militants révolutionnaires sont et seront, enrichissant par-delà de nous la mémoire accumulée de toute leur expérience de lutte, cuirassant le futur afin de nous armer dans nos combats jusqu'au triomphe de la révolution sociale pour qu’enfin se réalise la véritable communauté humaine. Vive la  révolution sociale !

 

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 13:01

                ILS ONT BESOIN DE LA PAIX SOCIALE POUR IMPOSER LEURS PLANS D'AUSTÉRITÉS

                                                    DÉCLARONS  leurs LA GUERRE DE CLASSE !

                PROLÉTAIRES souvenez-vous nous n’avons qu’un seul ennemi le capitalisme

 APRES L'IRLANDE, LA GRECE, LE PORTUGAL, L’ESPAGNE, L’ITALIE, DEMAIN LA BELGIQUE, LA FRANCE, L’ALLEMAGNE.... 

Le capitalisme, qu’il soit administré politiquement par la droite ou demain par la gauche donnerons dans les prochains mois leurs ordres pour licencier des milliers et des milliers de travailleurs. Le but de ses plans commandités par les marchés financiers (c.à.d. les banques qui ont transféré leur dette privée aux gouvernements à qui ils dictent la politique à tenir)  n’a qu’une seule perspective, nous faire payer le prix de leur turpitude en accélérant l’accroissement des profits au bénéfice d’un capitalisme international.

Ne viennent-ils pas de nous promettre un avenir de “ SANG ET DE LARMES“, mais pour  qui se prennent-ils, allons-nous continuer longtemps à subir l’arrogance et les coups de trique ! Allons-nous continuer longtemps à courber notre échine d’esclave soumis.

Les larmes nous les avons que trop versées, quant au sang, il n’a que trop coulé dans leurs ignobles boucheries mondiales lorsque nos frères se sont trouvés enrôlés, menottés par les discours et des consensus écœurants de tous ces félons de “sociaux démocrates“ , réformistes de tous poils, syndicats, staliniens, P“C“, P“S“ et toutes cette clique de fripouilles chauvine.

Nous devons leurs faire savoir que nous n’accepterons aucun sacrifice pour sauver l’économie nationale qui nous enchaîne à nos exploiteurs et qui conduit à chaque fois à la défense de la “patrie“ c’est à dire à la défense de leurs intérêts ! Nous devons affirmer par nos luttes, que la classe ouvrière se bat partout dans le monde, pour vivre et non pour défendre les intérêts des exploiteurs. En  temps de paix comme en temps de guerre, que ce soit sur le front de la production comme  sur celui du front militaire, nous appelons la classe ouvrière au défaitisme révolutionnaire par la guerre sociale.

                                              PROLÉTAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSEZ-VOUS,

                               REFUSEZ LA DISIPLINE D'UN GOUVERNEMENT D'UNITÉ NATIONALE !        

                            NE VOUS LAISSEZ PAS DICTER VOTRE AVENIR, BÂTISSEZ-LE VOUS MEME 

REFUSEZ LES PLANS D’AUSTÉRITÉS, REFUSEZ LES SACRIFICES AU NOM D’UNE QUELCONQUE

                                                                                        NATION !

Dans la situation actuelle de la lutte des classes, nous les communistes devons tout faire pour que le prolétariat mondial s’unifie sur la base de leurs intérêts communs immédiats. Pour cela nous devons avoir un langage clair et sans ambigüité, affirmer notre rejet de toutes conciliations avec le capital ; par des mots d’ordre et des revendications susceptibles d’unifier le prolétariat du monde entier : c’est en imposant nos conditions à cette clique de brigands et en les contraignant par la force et la détermination de nos luttes que le capital et ses états reculeront.

             EXIGEONS  UN EMPLOI POUR TOUS,    MOINS DE TRAVAIL POUR CEUX QUI EN ONT UN

                                                                           ET PLUS DE PAIE POUR TOUS !

1) Un travail pour tous, chômeurs et jeunes avec une diminution des heures ouvrables proportionnellement au nombre d’ouvriers et au perfectionnement de l’outillage.

2) La lutte pour l’augmentation des salaires pour les plus défavorisés d’entre nous, l’arrêt immédiat des salaires aux pièces et  aux rendements, l’interdiction des heures supplémentaires.

3) Une réduction de la semaine de travail à 30 heures sans diminution de salaire.

4) Aucune indemnité de chômage et de pension de retraite ne doit être inférieure à celle du salaire minimum.

5) Appropriation totale des excédents de production, impliquant une juste distribution gratuite aux couches sociales les plus défavorisées des vivres et des articles de consommation stockés comme excédents de production. Distribution effectuée sans distinction de frontière.

6) Gratuité des transports pour les jeunes, les retraités ainsi que  pour les “chômeurs en attente d’intégrer un emploi“.

7) Gratuité totale des loyers, de l’eau, de l’électricité pour les retraités et les “chômeurs en attente d’intégrer un emploi“.

Une chose doit être claire pour nous: au travail, en instance de licenciement, au chômage, nous sommes une classe sociale qui alimente le système qui nous opprime et nous exploite. Sans notre soumission, ils ne sont rien. Lorsque nous agissons ils tremblent ! Lorsque nous nous organisons par nous-mêmes en dehors et contre les syndicats ((apôtres du consensus, de la négociation, bref de la paix sociale, (voir le comportement du service d’ordre du syndicat PAME prêtant mains forte à la police antiémeutes en Grèce)), malgré leur "respectabilité démocratique", ils emploient la force de leur Etat, preuve s'il  en  est, de la crainte et de la haine qu'ils ont pour ceux d'en bas.

Il faut renouer avec la lutte de classe, qui n'admet pas de camisole de force. Il faut leur montrer que nous existons autrement que comme une somme d'individus concurrentiels sur le marché du travail. II faut pratiquer la solidarité de classe. Ce sont nos intérêts qu'il faut défendre et non pas ceux d'une quelconque entité exploiteuse, qu'elle soit nationale, internationale.

 Il faut refuser les sempiternels bavardages sur les impossibilités "momentanées" qu'aurait l'économie à satisfaire nos revendications.

Il faut refuser tout licenciement, non parce qu'on se complait dans l'esclavage, mais parce qu'on est solidaire de nos frères de classe, tant que les classes ne seront pas abolies par notre force.

Indépendamment de la conjoncture économique, nous devons réclamer  moins de travail et  plus de salaire réel. Il faut, lorsqu’une grève éclate, refuser de s'enfermer sur le lieu de travail. La solidarité de nos frères de classe se gagne, par  la  Lutte et dans la rue, entre tous les travailleurs avec ou sans emploi, avec ou sans papiers, notre force  est dans l'unité de notre classe. La conscience révolutionnaire de classe ne tombe pas du ciel, elle s'acquiert par le combat sans trêve contre l'ennemi qui ne nous considère que comme une masse informe et malléable. Y'en a marre des non-grèves orchestrées par les appareils syndicaux. Y'en a marre des grèves spontanées que ces mêmes appareils, par la magouille arrivent  à stopper et à vider de leur contenu.  

Revendiquer, oui, mais pour ne plus avoir à le faire. Nous "devons tous contribuer à l'union grandissante du prolétariat. Nous devons créer le rapport de force nous permettant d'en finir internationalement avec le travail salarié, les classes sociales et les frontières !

       PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSONS-NQUS, SUPPRIMONS  LES POLICES, LES ARMEES.

                                      LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIERES, LE TRAVAIL SALARIE...

                                                             ARMES, POUVOIR, ECONOMIE AU PROLETARIAT !

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