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Affirmez vos positions !

Camarade,

 

Utilise les tracts et les articles de ce blog, ils ne sont la propriété de personne, ils ne font que refléter  les positions  d'une classe qui vit, qui lutte pour supprimer sa propre condition de salariée. Diffuse ces textes, discute-les, reproduis-les. 

Soyons le ferment ouvrier révolutionnaire et  lançons  nous  à l'assaut  du capitalisme qui  nous  exploite et nous opprime du nord au sud  de  l'est  à l'ouest !

PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSEZ VOUS,
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LES ARMEES, LES POLICES, LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIERES, LE TRAVAIL SALARIE !
ARMES, POUVOIR, ECONOMIE AU PROLETARIAT !

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Les Nôtres

Ses camarades qui ne sont plus, mais qui par leur travail de militants révolutionnaires sont et seront, enrichissant par-delà de nous la mémoire accumulée de toute leur expérience de lutte, cuirassant le futur afin de nous armer dans nos combats jusqu'au triomphe de la révolution sociale pour qu’enfin se réalise la véritable communauté humaine. Vive la  révolution sociale !

 

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22 juin 2014 7 22 /06 /juin /2014 16:10

Lorsque le capital met le service public ferroviaire à la casse

Les syndicats mettent à la casse les luttes ouvrières

Toutes les grèves corporatives affaiblissent les luttes !

Depuis le 10 juin, les cheminots de la SNCF sont en grève ! Mais nul n'explique pourquoi ? Ni la syndicratie ni les grévistes. L’évidence est que pour les gestionnaires de l'état français, c'est-à-dire l'ensemble des partis politique (de gauche comme de droite, pour ceux qui ferait encore une différence) il faut éponger les dettes de la SNCF et de RFF pour qu'elles deviennent plus attractives dès l'ouverture à la concurrence du réseau français, ainsi que des lignes régionales, conformément au souhait des gestionnaires du capitalisme de Commission européenne. Ce qui veut dire en perspective, des licenciements et comme en Angleterre, des transferts des personnels dans une multitude d'entreprises privées et une ribambelle de sous-traitants avec inévitablement une baisse des salaires par l’intermédiaire d’une mise en concurrence avec nos frères de classe “ prolétaires détachés“ (détaché de tout sauf de leur chaine) méthodes employées afin de tirer les salaires vers le bas , aggraver sans cesse l’exploitation de tous les prolétaires et en gangrenant le mouvement ouvrier des haines nationalistes.

L’internationalisation de nos luttes est la seule solution a une perspective communiste
Toutes les grèves orchestrées par les syndicats tuent la lutte en la désolidarisant

du reste de la population !


S'il a été facile de rendre la grève des cheminots impopulaire, c'est bien de la faute à toutes les crapules syndicales qui ont en charge de gérer les grèves de la classe ouvrière, et ce n'est ni les fédérations de la soi-disant “base CGT“ et SUD-Rail qui appellent le Gouvernement et la direction de la SNCF en réitérant leur disponibilité pour aboutir à une vraie " réforme" sic [ben voyons ...] qui changera quoique ce soit à notre condition d'esclave ! Ni a notre sécurité dans les bétaillères, que ce soit les transports publics ou privés.


Hier, c'était La Poste, demain ce sera le tour du service hospitalier après demain les transports maritimes, etc. La classe ouvrière n'à rien à négocier par contre elle doit en appeler à une extension des luttes face à la dispersion de celle qui ne font plus la une des merde-médias à la solde du pouvoir capitaliste.
Aujourd'hui, la question qui se pose, c'est de savoir si nous continuerons à nous soumettre à l'exploitation de la seule vie que nous ayons ou si nous allons enfin réagir contre notre condition d'esclaves constamment humiliés !


Faudra-t-il encore longtemps pour en finir avec notre condition d'esclave salarié, ne vaudrait-il pas mieux balayer tous ceux qui nous y maintiennent sous prétexte de nous défendre. C'est-à-dire en finir avec l'embrigadement syndical et les faux partis "communistes ou Socialistes », qu'ils soient dans la pseudo-opposition ou au pouvoir, tous à la solde du capital.


Les syndicats n'ayant aucune légitimité pour représenter la classe ouvrière, sinon celle que lui confèrent les pouvoirs de l'état bourgeois qui les maintient! Les syndicats demeurent le premier obstacle à l'émancipation de la classe ouvrière. Nous devons rejeter les Lepaon, Berger, Mailly, les Laurent et autre Mélenchon, comme des félons prêts à prendre la relèvent des actuels dirigeants, car leur fonction est de nous faire accepter la règle du jeu capitaliste avec ses lois, sa justice au service de la classe qui nous exploite. Nous n'avons qu'un seul mot d'ordre : mort au capitalisme, abolition de l'esclavage salarié et pour le réaliser, détruire ce monde absurde par la révolution sociale.

PROLÉTAIRES DE TOUS LES PAYS NOTRE SORT EST LIÉ, NOTRE CHAÎNE EST LA MÊME, ALORS BRISONS LA !

PROLÉTAIRES DE TOUS LES PAYS UNISSONS-NOUS, SUPPRIMONS LES ARMES, LES POLICES, LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIÈRES, LE TRAVAIL SALARIÉ.

ARMES - POUVOIR - ÉCONOMIE AU PROLÉTARIAT.

VIVE LA RÉVOLUTION SOCIALE.

F.O.R Continuité Juin – 2014.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 13:46
DE L'UKRAINE AUX BALKANS

Suite à une correspondance avec « le brasier Rouge », qui nous reproche une absence de position sur les conflits mondiaux ! Bien que notre activité ne soit pas d'engager une polémique ni de privilégier une discussion avec un groupe plutôt qu'un autre, cette question nous fait penser que vous avez mal lu ou pas lu les articles sur l'ensemble de ces événements, ou alors, que vous êtes simplement de mauvaise foi. Nous réaffirmons nos positions indéfectibles aux principes du mouvement ouvrier, rien d'autre, mais pour nous l'essentiel est là ! À vous d'en faire bon usage ...

DE L'UKRAINE AUX BALKANS, DES BALKANS AU RESTE DU MONDE

A BAS TOUTES LES NATIONS DU MONDE

Nous affirmons qu'il serait faux de considérer l'idée que ce serait uniquement une question liée « a une nation particulière » l'antagonisme fondamentalement est le même partout ; que leur problème est une question posée au prolétariat mondial qui sera contraint de s'unir internationalement pour être capable d'en finir. Il ne s'agit pas pour nous de faire l'apologie d'une prétendue révolution, il serait inconséquent de notre part de flatter ces mouvements sans dénoncer les manœuvres réactionnaires qui heurtent de pleins fouets toute solidarité effective de classe. Tous les discours nationalistes ne mènent qu'à la division de la classe ouvrière et à son massacre ponctuel. La bourgeoisie Ukrainienne ne manquera pas d'appeler le prolétariat à se sacrifier pour sauver l'économie capitaliste basée sur son exploitation et en cas de lutte à lui envoyer ses flics et son armée pour mieux la mater !

LE MOUVEMENT OUVRIER A DES PRINCIPES INÉBRANLABLES :

LE PREMIER EST QUE LE PROLÉTARIAT N'A PAS DE PATRIE.

La lutte pour 1' émancipation est une lutte internationale de classe qui n'a que faire d'une solidarité qui ne vise pas directement à la déstabilisation et à la destruction de son propre pouvoir capitaliste national, de sa propre patrie ! Dénoncer sans relâche les manœuvres des classes bourgeoises et la manière dont elle s'organise, semant ses poisons nationalistes, brandissant ses oripeaux, entonnant leurs chants funestes patriotiques, en ayant pour unique projet de ranger la classe ouvrière derrière ses idéologies nauséabondes, sous le déguisement de « démocratie » pour mieux confisquer la direction de ces révoltes en leurs faveurs. La nation est une unité de l'exploitation mondiale de notre force de travail, au prix de notre vie condamnée au bagne, à la faim ou à la guerre.

GUERRE AU CAPITALISME INTERNATIONAL ET A SA DÉMOCRATIE :

MORT A L ÉCONOMIE NATIONALE.

La bourgeoisie internationale à comme unique perspective, la destruction de cette force en la canalisant dans des polarisations inter-bourgeoises et inter-impérialistes, pour préserver sa survivance. Les perspectives de la bourgeoisie Ukrainienne d'entrer dans la Communauté européenne se résumeraient pour la classe ouvrière de sortir de la caverne d'un voleur pour entrer dans celle d’un autres. !

Si comme le pense certains, la conscience politique n'est pas la prérogative des minorités révolutionnaires, nous ne sommes pas exemptés de dénoncer toutes les entraves qui surviennent pour faire obstacle à notre émancipation. Comme il est de notre devoir de démontrer qu'il n'y a pas de différence entre les luttes des prolétaires en Grèce, Algérie, Tunisie, en Égypte, en Libye, au Bahreïn, en Syrie, au Yémen, Venezuela, Turquie, Bosnie, Ukraine, de réaffirmer qu'elles n'ont pas de causes différentes, qu'elles n'ont pas d'ennemi différent, qu'elles n'ont pas de perspectives différentes, quels que soient les résultats que ces luttes pourront connaitre, elles seront tout appelées à revenir sur le devant de la scène, en espérant qu'elles auront tiré les leçons de leurs faiblesses et qu'elles seront en mesure d'entrainer une coordination avec toutes les autres luttes du prolétariat mondiale.

D'ailleurs, la bourgeoisie mondiale ne s'y trompe pas devant l'usure galopante du verbiage des nationalistes. Pour exemple, peu d'écho a été fait des dernières luttes qui ont eu lieu en février 2014 en Bosnie, ou Bosniaques, Serbes et Croates manifestaient les uns à côté des autres, ce qui représente un grand danger pour la classe bourgeoise et aux politiciens nationalistes à la tête des États. Parmi les principales revendications des manifestants de Tuzla, on trouvait : le paiement des arriérés de salaire de plusieurs entreprises privatisées depuis le début des années 2000 ; le paiement des retraites actuellement impayées à cause des patrons des entreprises privatisées qui ont tout simplement arrêté de payer les cotisations sociales ; et, plus en général, une solution pour lutter contre le chômage et la misère dans laquelle se trouve une grande partie de la population, on estime que le taux de gens sans emploi en Bosnie-Herzégovine est de 44 % et plus de 60% parmi les moins de 25 ans.

Les manifestants se sont dirigés vers le siège du HDZ croate et celui du SDA bosniaque, les deux principaux partis nationalistes, qu'ils ont finis par incendier. Et encore une fois, c'est la bureaucratie syndicale, toujours fidèle à la défense de l'ordre bourgeois, qui s'est jointe au concert des pleutres, en déclarant le vendredi 7 février : « Nous ne pouvons pas être solidaires de cette violence, c'est inadmissible ». À cela, il faut mentionner les mobilisations qui ont secoué l'année dernière la Roumanie, la Bulgarie, la Slovénie ou encore la Grèce. Un des dangers pour les capitalistes des Balkans et au-delà, c'est que la radicalité du mouvement de Bosnie-Herzégovine ne se déplace pas vers d'autres pays dont la situation sociale est catastrophique. Alors les jérémiades de Barack Obama et les roulements d'épaules de Poutine, ont bien d'autres préoccupations que l'indépendance de l'Ukraine, dont aucune des deux puissances impérialistes ne veulent soutenir financièrement (ou de quelques broutilles). Quant aux aspirations des bourgeois nationalistes d'Ukraine soutenu par J.Kerry, d'une alliance avec l'UE risque vite de désenchanter devant des contraints qu'ils seraient forcés d'imposer à une population déjà dans une grande précarité et de surcroît, l'UE n'a pas du tout l'intention de faire entrer l'Ukraine dans les conditions actuelles. Les puissances impérialistes se refilent l'Ukraine d'aujourd'hui comme une patate chaude, mais aucun n'en veulent ! Leurs perspectives ne peuvent être plus claires, dominer, manipuler le monde et ranger les combattants dans l'un ou l'autre camp impérialiste perpétuer une guerre civile (voir une guerre généralisée) pour qu'ils se massacrent entre-eux afin d'éviter, ce les forces bourgeoises craignent le plus la révolution sociale!

Les travailleurs d'Ukraine comme ceux des Balkans doivent rejoindre les luttes de la classe ouvrière internationale pour mettre fin à un système sanguinaire, contre toutes les forces bourgeoises et leurs États, qu'ils soient «dictatoriaux» ou «démocratiques» ou encore « Théocratique ». Nous n'avons qu'un seul tyran la bourgeoisie un seul ennemi, son système pourri, le capitalisme ! Il n'y a pas de problème Ukrainien, mais un problème international du prolétariat mondial contre le capitalisme mondial. Guerre au capitalisme international mort a l'économie nationale.


PROLÉTAIRES DE TOUS LES PAYS UNISSONS-NOUS

SUPPRIMONS LES ARMÉES, LES POLICES, LES FRONTIÈRES, LE TRAVAIL SALARIE.

ARMES POUVOIR ECONOMIE AU PROLÉTARIAT.

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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 11:51

Le pouvoir ukrainien tente depuis des mois de déloger les protestataires qui occupent le centre de Kiev. Les assauts de la police ont fait d'ores et déjà plusieurs centaines de morts et le triple de blessés. Ianoukovitch, qui s'appuie sur la Russie, et les dirigeants de la "pseudo-opposition" qui cherchent eux, le soutien des puissances occidentales, ont finit par s'affronter dans une atmosphère de guerre civile... Voila en gros les commentaires entendus des "mérdias" de la presse en pays démocratique, enrichis par les images commentées par BHL, célèbre philosophe humaniste et casque bleu par intermittence.


Tous se gardent bien de parler de la situation misérable que subit le prolétariat en Ukraine, des conditions de vie insupportables, comme celle des mineurs qui décrivaient : le manque de denrées alimentaires, des services de santé des plus déplorables, des salaires qui permettent à peine de survivre et une économie nationale dilapidée, etc. Peu nombreux sont les travailleurs à avoir participé aux manifestations en tant que classe, en premier lieu dans les régions industrielles dans l'est du pays où une petite partie seulement de la population a soutenu les protestataires, souvent par solidarité à leurs enfants enrôlés dans cette contestation. Ce qui est certain, c'est qu'ils ne font confiance ni à "l'opposition" ni au gouvernement !


L'absence d'une véritable lutte de la classe ouvrière internationale en tant que force, permet à la bourgeoisie "d'opposition" et à leurs partisans de manipuler de les dévoyer, en leur faveur au détriment des attentes réelles des manifestants. L'ensemble de toutes ces révoltes émergeant paquet par paquet à travers le monde, laissent les mains libres à toutes ces fripouilles leur permettant de manipuler le " bon peuple aspirant à ce qu'ils osent prétendre être "des besoins plus démocratiques.... " Alors que ceux-ci crèvent de faim sous les coups de trique de la production !


Dans un système économique qui ne profite, comme partout de ce monde, qu'à enrichir des fripouilles qui ont amassé des milliards en pillant le pays et qui sont à présent arrivées à la conclusion que leur fortune serait plus sûre avec une alliance avec l'Union européenne qu'avec la Russie, et qui tire les ficelles en coulisses.


Les slogans officiels des protestations relayés par les médias sont fallacieux et un tissu de mensonges. Cette démocratie dont la bourgeoisie mondiale nous bassine, comme étant l'enjeu des protestataires, n'est rien d'autre qu'une surenchère pour mieux les dévoyer de leurs luttes réelles, d'un mécontentement qui touche toute la population. La plupart des Ukrainiens ne sont pas dupe, ils ont bien compris " qu'indépendance nationale ou pouvoir démocratique" ne signifierait rien d'autre pour eux que de remplacer les oligarques de Moscou et de Kiev par la tyrannie de l'oligarchie financière de Bruxelles ou encore de Washington.

C'est toujours lorsque le prolétariat, et particulièrement quand celui-ci réaffirme sa perspective révolutionnaire de détruire le capitalisme, quand les voies des réformes ne suffisent plus à neutraliser la force sociale de la classe prolétarienne, que la bourgeoisie internationale intervient en déployant des stratèges dévoyant les luttes dans des pseudo-conflits inter-bourgeois et inter-impérialistes qu’ils soient réels ou fictifs. Leurs actions continuent à avoir le même objectif que celle d'Ianoukovitch – Poutine, prévenir et liquider toutes les révoltes prolétarienne ! Enrôler les combattants dans l'un ou l'autre camp impérialiste ! Évincer l'équipe de crapules en place pour en mettre une autre toute aussi pourrie.


L'Ukraine, l'arbre qui cache la forêt !


La situation de l'Ukraine n'est rien d'autre que l'arbre qui cache la forêt d'une situation économique déplorable de la Russie et si L'UE et les Etats-Unis soutiennent la "pseudo-opposition" Ukrainienne ce n'est là qu'un intérêt purement tactique. Le chèque de 20 milliards de Poutine ne suffira pas à éteindre les futurs embrasements qui couvent tant en Ukraine que dans toute la Russie. De l'autre côté, l'alternative d'une alliance de coopération UE et FMI avec l'un de ces pays devra à un moment se soumettre aux dictats de ceux-ci et appliquer des mêmes mesures impopulaires, que celles de Poutine, la dévaluation des monnaies, et une politique d'austérité accrue, c'est-à-dire pire que celle qui a déjà précipité des millions de travailleurs en Europe dans une pauvreté extrême. Alors il est clair, que la gesticulation de tous ces clowns de Bruxelles comme de Washington, n'ont qu'une alternative, venir en aide à Poutine et non comme ils le dissent pour faire cesser les violences et les crimes d'État dont ils sont les principaux complices, commandités ou non par Ianoukovitch ou Poutine.


Nous faire croire que les visées de l'UE seraient motivées pour s’approprier d'une région t'elle que l'Ukraine pour son emplacement stratégique est une bêtise, par contre la dépendance énergétique de l'Allemagne en gaz provenant de la Russie et qui transit dans les pipelines Ukrainien, elle est bien réelle, les exportations augmentent chaque année vers l'Allemagne en bénéficiant de prix les plus avantageux ! Le réseau ukrainien est stratégique autant pour la Russie que pour l'UE, l'approvisionnement en provenance de la Russie (fournisseur à hauteur de 40 % de l'UE) transite à 80 % par l'Ukraine.

L'Allemagne aurait tout à perdre à privilégier l'opposition des oligarques au détriment de Poutine, celui-ci couperait le pipeline en Ukraine et l'Allemagne perdrait économiquement sa place de leadership au sein du l'UE après un ralentissement de son économie, alors le Tsar Poutine peut compter sur l'aide et l'appui des Merkel et Barroso ainsi que de l'ensemble de l'UE et du FMI. Quant à l’avenir de l’Ukraine et des pourritures d’Ianoukovitch, l’histoire est connue d’avance, le magot étant au chaud depuis des lustres, c’est un remake à la Tunisienne.

L'intérêt à dévoyer toutes ces révoltes se trouve l'intérêt du capitalisme mondial, que ce soit en Ukraine, en Libye, en Tunisie, en Syrie, en Egypte ou au Mali, ce qui les unit plus que tout, c'est la survie de leur système immonde. Les évènements en Ukraine pourraient bien dépasser les frontières de ce pays et c'est là qu'interviennent les états-pompiers, éteindre l'incendie avant qu'il ne se propage et devienne le brasier qu'ils craignent, celui de la révolution sociale mondiale !

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 15:17
APRÈS LES BONNETS ROUGES… LES BONNETS D’ÂNES

LA "RÉVOLUTION FISCALE "

Réunis côte à côte, le Parti de gauche et PCF ayant relégué au second plan, leurs divergences sur les municipales de mars, le PCF ayant privilégié dans de nombreux cas, une alliance avec le Parti Socialiste plutôt qu'une liste avec le front de gauche. Était présent lors de cette manifestation le NPA et Lutte Ouvrière. Non il ne s'agissait pas d'une "alliance contre nature" mais de la surenchère d'une fraction de la bourgeoisie qui n'a rien à envier à celle des bonnets rouges, vous avez honteusement collé aux basques d'un populisme chauvin.

Les "révolutionnaires" Trotzkiste avec les résidus de la social-démocratie et les débris du stalinisme jusqu'à là rien de surprenant, mais pour dire quoi, et revendiquer quoi ?


- "Le système de l'impôt est rejeté par tout le monde, car tous savent qu'il protège les “privilégiés fortunés“ ! (lapalissade ou poujadisme,) On ratisse large dans le populisme,

- "il faut établir un impôt universel et juste" la bonne parole citoyenne

Derrière des slogans comme : "on est fiers de l'impôt quand il est juste" la bonne parole citoyenne.
Les manifestants, venus de toute la France !!!..., ont réclamé une "politique fiscale ambitieuse", avec un "vrai redécoupage fiscal" et la suppression de la hausse de la TVA, prévue pour le 1er janvier 2014.

-"Il faut des portiques et des taxes, mais sur les autoroutes de la finance !", a déclaré pour sa part Pierre Laurent (PC), il est malin le Pierrot, p'tit clin d'œil aux bonnets rouges , les municipales c'est pour bientôt) !

Est-ce cela des positions de classe ? Est-ce cela des positions communiste !

Les intérêts du prolétariat ne sont pas de faire sortir la France d'une prétendue crise économique ou du remboursement de la dette (quelle est donc cette crise qui permet de considérables profits à certains capitalistes et, plus simplement, qui ne stoppe pas l'accumulation du capital à l'échelle internationale ?).

Il sera plus difficile que vous ne le pensez de faire avaler aux ouvriers que ce monde leur appartient et qu'ils doivent participer à sa gestion. Oui, l'augmentation de la TVA est une vacherie de plus, mais de la a courir derrière Mélenchon et son Parti de gauche et le P "C"F en est une autre encore plus monumentale, ridicule, vous le seriez encore plus, si le tribun venait à prendre sa place dans ce gouvernement... Maintenant, vous vous promenez dans cette "opposition de gauche... Bien joué !

Paris (AFP) 07-11-2013 [le langage de Lutte Ouvrière : au plan électoral, "on se prépare à présenter des listes Lutte Ouvrière dans toutes les élections", municipales et européennes, a déclaré Mme Arthaud. "Sûrement pas avec le Front de gauche et le Parti communiste qui ne veut surtout pas se dire dans l'opposition (sic), qui laisse croire que ce gouvernement peut changer de politique. Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte Ouvrière, a jugé "lâche et pleutre" le gouvernement qui "mène une politique anti-ouvrière" et "récolte ce qu'il a semé" dans l'affaire de l'écotaxe". "Le gouvernement est lâche et pleutre, il est sans volonté face au grand patronat. Il n'a pas arrêté de s'aplatir", a déclaré Mme Arthaud.]

N'est-ce pas là semé des illusions, en terme politique, qualifier, un gouvernement de "lâche et pleutre et sans volonté" n'est-ce pas là roulée pour le Front de gauche et sa fameuse “mollesse d’Hollande“ ?

Le P'C'F se cacherait d'être un parti d'opposition ! Ben voyons...

Est-ce cela des positions de classe ?

Vous nous aviez déjà fait le coup avec les syndicalistes briseurs des grèves ouvrières, avec les bouillies gauchistes les leurs "soutien critique des gouvernements de la gauche", avec les antiracistes d' Harlem Désir aujourd'hui favorables aux quotas d'immigration...

Maintenant, vous voudriez que nous participions dans cette pétaudière pour adopter une posture qui s'en prend aux excès d'un capital « la finance qui salit » la grande et monstrueuse découverte du siècle ! Il vous aura fallu deux siècles pour nous pondre de telles âneries.

Il est maintenant prouvé que ses manifestations de cette "opposition de gauche" en alliance avec les "trotzkistes" est une pure mystification destinée à retarder la lutte des classes. Vous voudriez qu'on gobe que les ambitions de Mélenchon valent mieux que celle du bourgeois Hollande !

L'esclavagisme et la misère de ce monde n'est pas une fatalité due à une quelconque mauvaise gestion qu'elle soit conduite sous Hollande ou Mélenchon ! Notre sort ne doit pas dépendre des avatars d'une économie pourrie dans laquelle nous, sommes exploités, méprisés, achetés comme des marchandises, traités comme du bétail. Notre sort doit dépendre de notre - commune volonté, d'un système économique, et social proposé par nous dans lequel tous les héritages de la barbarie et de l'oppression auront disparus.

Une chose est sur, si ce système survit par la force des appareils étatiques, il l'est aussi par notre soumission entretenue quotidiennement par une idéologie crapuleuse qui ne vise qu'a dévoyer la classe ouvrière d'une réelle conscience de classe. Les trotskistes du NPA, LO et Mélenchon voilà une troïka symbolisant les plus hauts sommets de la désagrégation de cette vieille peau du social-citoyen, visant à remettre sur les rails une bourgeoisie moribonde.

Oui il faut s'organiser contre toutes les mesures gouvernementales, contre l'économie nationale (et internationale!), contre les carcans syndicaux qui veillent à notre passivité, à notre "responsabilité". En fait de responsabilité, par notre passivité en tant que classe, nous ne sommes responsables que de notre misère toujours plus forte. Oui, il faut lutter, mais certainement pas avec ceux qui ne cherchent qu'à perpétuer notre esclavage en revendiquant une autre forme d'exploitation !

Nous revendiquons qu’un autre monde est possible, si nous le voulons. Un monde où l’homme n’est plus obligé de se vendre pour survivre, un monde fondé sur la gratuité et l’abondance.

La seule solution qui s'impose à la classe ouvrière est celle d'une lutte de classe sans concessions, débarrassée de tous les oripeaux gauchistes, populistes, qui ne propagent qu'une démoralisation dans des luttes stérile opposer à notre émancipation. Pour en sortir, il nous faut , d'abord nous organiser pour lutter ensemble contre tous ceux qui nous exploitent, contre les syndicats qui nous répriment lorsque nous commençons a remettre en cause notre vie d'esclaves et nous isolent par entreprise, par profession; ainsi en associant notre sort à celui de l'économie, nationale.

Tant que l'on confondra capitalisme d'État et socialisme, contre-révolution et révolution, les classes dominantes pourront dormir sur leurs deux oreilles, ou plutôt sur leurs sacro-saints profits. En véhiculant sans répit, l'idée d'une opposition entre prétendu « gauche » et le « communisme », les possédants sont certains que les barreaux idéologiques dans la tête de tous les exploités sont bien plus sûrs que les barreaux de n'importe quelle prison.

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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 10:57
Les-ouvriers-du-textile-bangladais-manifestent-deu-copie-1___________

Chronique d’une réserve d’esclaves:

 

Préambule et définition: Un pays émergent et un pays d’où l’émergence de banques de marchés boursiers, réussissent grâce à une exploitation intensive de leur réserve d’esclaves. Cet article est  un court résumé sur l’esclavage des damnés du textile, un prolétariat longtemps resté une réserve à suer la plus-value. 

Bangladesh les esclaves du textile !

 

Des manifestations des ouvriers bangladais pour de meilleures conditions de travail et pour revendiquer des hausses de salaires se multiplient. A Savar, une ville à une trentaine de kilomètres au sud de Dacca, la capitale du Bangladesh, les violences s'intensifient entre les ouvriers du textile et les gérants des usines. C’est dans presque  80% des usines, que les ouvriers ont débrayé dés le lundi le 13 mai pour demander des hausses de salaires".

Et toutes les usines de la zone industrielle d'Ashulia vont fermer pour une durée indéterminée à partir de mardi 14 mai, à cause de l'agitation de la main-d’œuvre", a confirmé à l'AFP. Le Bangladesh est à feu et à sang depuis le millier de morts provoqué par l'effondrement d'un immeuble, le Rana Plaza, qui abritait des ateliers de confection, le 24 avril dernier à Savar. Les marques occidentales Wal-Mart, H&M, Inditex, Zara, Carrefour etc.… font confectionner leur production dans certaines de ces usines. La majorité des ouvriers du textile sont des femmes. Ces femmes doivent faire face à des conditions de travail (d’esclavage) très éprouvantes (bas salaires versés de manière irrégulière, discriminations, harcèlement sexuel, heures supplémentaires forcées, licenciements arbitraires, manque d'hygiène dans des usines dont 90% des bâtiments sont insalubres et non conformes au code de sécurité les plus élémentaires...).

Déjà en été 2011, les ouvriers, dont le salaire minimum était de 1 662 Takas [18 euros] par mois, se sont mobilisés pour obtenir une hausse de salaire minimum mensuel. Ils ont demandé 5 000 Takas [53 euros] par mois. Mais l’accord conclu le 29 juillet 2011 avait honteusement fixé le salaire minimum à 3 000 Takas [33 euros] par mois. Par la suite les chefs d’entreprise ont mis en place un système gradué d’échelons. Cela leur permet d’imposer des pourcentages d’augmentation différents pour mieux  diviser  les ouvriers, afin d’empêcher l’unification des luttes. De violentes émeutes avaient déjà éclaté fin juillet 2011 pour dénoncer ce nouveau barème. Aujourd’hui, l’application de ce système provoque de nouveau la colère. Le prêt-à-porter représentait environ 40 % de la main-d’œuvre industrielle totale au Bangladesh.

 Nos vêtements sont donc de moins en moins "made in China" et de plus en plus souvent fabriqués au Bangladesh, une partie de sa production s'est déplacée de Chine vers le Vietnam, l'Inde et le Bangladesh, en raison de la hausse des coûts du travail dans ces pays ! Aujourd’hui c’est la bourgeoisie Chinoise qui passe commande au Bangladesh ! Atiqul Islam, le président de l'Association bangladaise des exportateurs et fabricants de textile, qui représente pas moins de 5 000 usines, c’était félicité que  son pays avait désormais supplanté ses voisins indien, pakistanais, vietnamien, cambodgien ou indonésien.

 AUCUN PAYS SUSCEPTIBLE DE PRENDRE LA RELÈVE

 Le Bangladesh est en effet le dernier héritier du "moment tee-shirt", expression utilisée par les journalistes du New York Times pour désigner cette phase d'essor du secteur, qui culmine lorsque les ressources humaines et matérielles sont utilisées au maximum, avant de progressivement laisser la place à des industries à plus forte valeur ajoutée... Le secteur textile décline alors sous le poids des revendications ouvrières et des “avancées sociales“, et se transfère dans un autre pays, aux coûts de fabrication encore plus faibles, dû en grande partie par le travail des enfants (environ 13 % des 7-14 ans selon les chiffres de l'Unicef. Pour le moment le Bangladesh n’a priori  aucun pays concurrent  susceptible d'offrir des coûts du travail aussi bas. Même pas en Afrique, estime encore les journalistes du New York Times, s'appuyant sur les travaux du  “Center for Global Development“, où le coût de la vie est devenue trop élevé pour que les salaires soient plus faibles qu'au Bangladesh. En dehors de la Birmanie, aucun pays "relais" n'apparaît susceptible d'entrer dans la "phase tee-shirt" à la suite du Bangladesh.

  LE MENSONGE DES CRAPULES QUI ASSASSINENT  DES MILLIERS  DE TRAVAILLEURS

 

Selon un dernier bilan de l'effondrement du Rana Plaza, le 24 avril, d'un immeuble de bureaux transformé en atelier de confection géant pour plusieurs marques, dont plusieurs grands noms occidentaux (Benetton, Mango, Primark.. mais aussi des groupes français Carrefour, Auchan et Camaïeu d’après les étiquettes trouvées dans les décombres. Le quotidien britannique ajoutait en 2011 que “les grandes enseignes comme Wal-Mart, Tesco, H & M, Zara, Gap, Metro, JCPenney, Mars & Spencer, Khol’s et Levi Strauss importaient tous des vêtements en vrac du Bangladesh, où les coûts du travail figuraient parmi les plus bas du monde”. Bien entendu la lâcheté de ces groupes textiles est d’affirmer n'avoir aucune production dans l'immeuble du Rana Plaza, qui a coûté la vie à plus de 1 130 ouvriers et ouvrières laissant sur le carreau de nombreux handicapé(e)s à vie et des centaines d’enfants orphelins. Douze personnes ont à ce stade été questionnées dans le cadre de l’enquête sur l’effondrement de l’immeuble. Des fissures avaient été constatées la veille mais les responsables des ateliers avaient demandé aux ouvriers de revenir travailler normalement.Quant à ceux qui reconnaissent à demi-mots y faire produire des vêtements, ils s’empressent de signer des chartes et engagements de principe (le temps de l’événement médiatique) pour les oublier  aussi tôt !

   

AFFIRMONS UNE SOLIDARITÉ ABSOLUE Á L’EFFORT DES LUTTES DE NOS FRÈRES ET SŒURS DE CLASSE

 L’honteux chantage de la bourgeoisie Bangladaise contre les luttes ouvrières qui desserviraient l’économie nationale et du même coup l’amélioration de ses conditions de vie, est une infâme crapulerie ajoutée à celle du capitalisme mondial. Ne pas laisser dans l’isolement l’effort des luttes de nos frères et sœurs de classe Bangladaise, devrait inciter la classe ouvrière internationale à une solidarité absolue et non de laisser la place aux pleurnicheries hypocrites de  cette même bourgeoisie ! La solution n'est pas pour nous dans le boycott des vêtements bon marché "made in Bangladesh" ou d'une autre province du monde, mais dans une solidarité active, revendiquée en écho dans toutes les luttes des travailleurs du monde entier, la seule réponse que nous devrions apporter à nos frères de bagne est celle inscrite dans la perspective d’un autre monde ! « Socialisme ou … socialisme », la barbarie étant déjà là  sous nos yeux depuis des siècles et chaque jour plus barbare que jamais ! Ne pas comprendre que le capitalisme est le système économique d’une classe bourgeoise mondiale, c’est nier que la classe ouvrière soit une et indivisible !

Les prolétaires Bangladais doivent s'armer pour se défendre en vue d'imposer sa force de classe pour réduire à néant ceux-là même qui veulent les enchaîner aux " intérêts supérieurs de la nation ". S'armer aussi pour couper l'herbe sous le pied à toute tentative d'éclosion de syndicats qui n’auront d’autre but comme partout dans le monde qu’à perpétuer leur esclavage au nom de l’intérêt de la nation en forçant la classe ouvrière à suer la plus-value nationale.

La classe ouvrière doit en appeler à la solidarité de classe du prolétariat international et en premier lieu à ceux de l’Europe pour briser l'isolement. Partout, il y a des luttes contre la catastrophe en acte de la société bourgeoise, les prolétaires luttent pour la même chose, contre le même ennemi. Nous devons tout faire pour barrer le chemin aux propagandistes de tous poils qui ne cherchent qu’à perpétuer notre esclavage (Scoop - coopérateurs, gestionnistes ....) Ou encore aux autres conciliateurs de consensus social mêlant les capitalistes, syndicats et démocrates pour faire obstacle à notre perspective !

IMPULSONS L’ORGANISATION  ET LA CENTRALISATION DE LA LUTTE INTERNATIONALE CONTRE LE CAPITAL !

PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSONS-NOUS ,   LE CAPITALISME NE SE REFORME PAS, IL SE DETRUIT.

 SUPPRIMONS LES ARMEES, LES POLICES, LA PRODUCTION DE GUERRE, LES FRONTIERES, LE TRAVAIL SALARIE               

 ARMES,  POUVOIR, ECONOMIE AU PROLETARIAT !

 

 

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 17:14

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FAUSSES AFFAIRES ET VRAIES RAPINES EN BANDES ORGANISÉES

 Il n'y a pas un trimestre sans qu'il n'y ait pas une révélation quasi divine sur les magouilles de la bourgeoisie pour mieux camoufler les manœuvres qui se trament à l'encontre du prolétariat. Les affaires (Strauss-Kahn, (Axa, Henri de Castries), (Total, Christophe de Margerie, Cahuzac, Balladur, Guéant, Tapie, (Orange Stéphane Richard, etc.) n'est que la partie émergée de l'arrogance, du mensonge de la rapine sociale de cette classe bourgeoise sur le dos des travailleurs, la source aux scoops des affaires est intarissable ; (retraites “spécial pactole“ pour sénateurs, ministres, conseillers, députés à vie avec leurs privilèges, percepteurs de bakchich, cœurs ouverts aux lobbyistes, hauts fonctionnaires, magnats de la finance, mafia syndicale, des médias, politiciens à vie, magouilleurs d'affaires, spéculateurs initiés, dispensé de justice ...). Au-delà des pseudo-séismes politiques dont les conséquences n’iront pas plus loin que dans la poubelle élyséenne. Nous assistons bien à des règlements de comptes inter-bourgeois confrontés à la crise... de la répartition de leurs rapines mafieuses qui va bien au-delà du cartel national.

Le fait que “les affaires“ de cette bourgeoisie soient temporairement divulguées, n’en fait pas pour autant une crise du système capitaliste et ne l’affaiblit nullement. De même que ces pseudos-révélations n'apportent rien de ce que les travailleurs du monde entier ne sachent déjà de leurs bourgeoisies respectives. A vrai dire l'arbre n’est pas assez gros pour cacher la forêt et personne n’est dupe ! Cette suite de diversions n’est là que pour mieux (sciemment ou pas) occulter les saloperies que toute cette bourgeoisie s’apprête à faire endosser à la classe ouvrière afin de continuer les habituelles attaques à l'encontre des salariés, des retraités, des chômeurs et de tous les miséreux de la terre, pour accroître leurs goinfreries de richesses par l'exploitation toujours plus accrue des travailleurs du monde entier.

                        FRONT DE CLASSE, PROLÉTARIAT CONTRE BOURGEOISIE !

Au-delà de ses discordes d’intérêts de cette classe qui est par nature composée de voleurs puisqu'elle s’attribue les biens du travail d’autrui et qu’elle justifie sa rapine par ses “lois“ par son “droit“, et par la force coercitive de son “État“ …État qui, rappelons-le, fut créé et façonné à travers des siècles et des siècles par des coteries avant de devenir les classes esclavagistes qui se sont succédé, pour légitimer leurs vols et leurs crimes en bandes organisées.

Toutes ces embrouilles, tout ce déballage ne prouvent qu’une chose que la bourgeoisie (classe mondiale) ne sera jamais une classe homogène et qu’elle peut, temporairement, être incapable de réguler ses conflits d’intérêts. Le système capitaliste se trouve alors avec des personnels et institutions décrédibilisées, fragilisées qui menace la suprématie de ses États ! Les risques encourus par cette pétaudière sont de faire surgir des conflits qui ne pourraient trouver de solution dans le cadre de cette autocratie “démocratique“ et celle d’une contagion à l’extérieur du pays. Le recours qui s’offre au capitalisme pour préserver son système, est celui d’éliminer les corps discordants par ses anticorps afin de purifier l’État de cette classe dissonante, par la fascisation politique de l’État, afin de garantir de ses intérêts et par-delà déboucher sur une boucherie mondiale !

FASCISTE  DE DROITE OU DÉMOCRATE DE GAUCHE ON S'EN FOUT

UNE SEULE  GUERRE S’IMPOSE : PROLÉTARIAT CONTRE BOURGEOISIE !

Nous nous  méfions autant des flatteurs Maurrassiens que des flagorneurs “Mélenchavez“, en dernière instance le capitalisme choisira toujours le bourrin qu’il estimera mieux placer pour mettre la classe ouvrière à genoux ! Méfions-nous de ces colporteurs qui puisent leurs “idées neuves“ dans la vieille marmite de la social-démocratie ceux qui ont la charge d’ouvrir la voie royale a toute leurs saloperies nauséabondes là où s’épanouissent les sociaux-patriotismes du front national aux sociaux-chauvinismes du front de gauche dans une Europe telle qu'elle n'a jamais cessé d'être, une jungle des nationalismes, anti-ouvrière mais toujours fertile au mythe répandu par les bonimenteurs ?

Pour nous communiste, les prédicateurs de la morale citoyenne, du front national a celle du front de gauche des Mélenchon ou encore des Montebourg, qui par leurs propos sur « l’arrogance du gouvernement allemand qui pourrait mal finir » ou encore qui véhicule une idéologie chauvine, en faisant des institutions nationales ou Européennes la cause des contradictions sociales et de la misère, en mettant en avant la nécessité de nouvelles “institutions“ plus“ démocratiques " plus “protectrices des intérêts du “peuple de France“, plus “citoyennes ", est aussi abjecte et nauséabonde que les remonter de l’extrême droite . Leur terrain est le même et fait appel aux mêmes bassesses, rabaissant le prolétariat au rang d’une masse d’abrutis, malléable à souhait qu’il suffirait de flatter pour s’en faire un allier servile dans un nationalisme de va-t-en-guerre.

La solution à toutes ces “affaires“, n’est pas de notre ressort ni nos préoccupations et encore moins dans les principes prônés par les bons apôtres de cette bourgeoisie, ils peuvent cracher sur leur bible ou même accepter l’idée d’une révocabilité de leurs personnels en cas où “le bon peuple citoyens“ les jugerait “Mélenchoniquement“ incompétents, cela ne changerait strictement rien à notre exploitation, sinon qu’à nous impliquer davantage dans la soumission de notre esclavage ! La solution pour mettre fin à leurs rapines mafieuses d’Est en Ouest du Nord au Sud se trouve entre les mains des prolétaires en anéantissant ce monstrueux système d’esclavage qu’est le capitalisme…et en premier lieu ses États.

ARRANGEONS-NOUS POUR NE PLUS AVOIR A REVENDIQUER !

L'histoire ne se répète pas, elle bégaie, il appartient a la classe ouvrière internationale d’en finir une bonne fois pour toutes. Il n’y a pas d’alternative lorsque l’occasion se présentera le prolétariat devra être suffisamment armé pour triompher de sa lutte émancipatrice, pour venir à bout de ce monde il devra supprimer tous les obstacles qui l’ont jusqu'alors maintenu dans sa condition de classe soumise ! En premier lieu les syndicats qui sont les seuls garants de l'ordre social, donc de la pérennité des profits du capitalisme.

La bourgeoisie s'acharne depuis des siècles à maintenir sa domination par son système esclavagiste, à maintenir les conditions qui nous contraignent pieds et mains liés à “vendre“ notre force de travail pour un salaire de misère et qui lui permettent de nous jeter dans une misère plus grande encore au cas où elle n'a plus besoin de nous pour la servir. La leçon étant suffisamment claire pour l'immense majorité d'entre-nous, que les moralistes et prédicateurs à la petite semaine ne nous détournent pas de la seule perspective qui s'impose si nous voulons vivre et construire ! Méfions-nous de cette bourgeoisie à la recherche d’un chevalier blanc comme de celle qui nous menace de ses cavaliers de l’apocalypse, des moulins à paroles l’histoire de notre classe en est pleine à vomir !

Notre lutte est celle de toujours, de toutes les classes opprimées et exploitées d’hier et d’aujourd’hui. Imposons la frontière de classe à tous ceux qui de partout essayent de nous dévoyer, pour ça une seule voie s’impose!                        

            Ni front de gauche ni front de droite, imposons le nôtre celui qui détruira ce monde:   

 FRONT DE CLASSE, PROLÉTARIAT CONTRE BOURGEOISIE!

UNE SEULE VOIE S’IMPOSE : GUERRE DE CLASSE

 

VIVE LA REVOLUTION SOCIALE MONDIALE !

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 18:14

 

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                                NOUS NE SOMMES RIEN, SOYONS TOUT !

Comme les travailleurs, les sans-travail, les étudiants, les retraités,… d’Allemagne , de Belgique, de Grèce, d’Espagne, d’Italie , du Portugal, de Russie, du Japon, de Chine, du Bengladesh, d’Afrique du Sud, d’Algérie, de Tunisie, d’Égypte, du Pérou et de bien d’autres régions du monde, nous devons descendre à notre tour dans la rue , et

             DÉCLARER LA GUERRE AU CONSENSUS ET A LA PAIX SOCIALE

Nous devons être la « relève en action »… celle que craignent tous les gouvernements de tous les pays et de toutes les tendances politiques! Nos revendications ne sont que l’expression :

                    D’UNE MÊME CLASSE D'UN SEUL ET MÊME MOUVEMENT

celui des exploités, des crèves la faim, des sans réserve, des prolétaires, de ceux qui lutte:

CONTRE LES SACRIFICES que tentent de nous imposer partout les gestionnaires du capital.

CONTRE DES CONDITIONS DE SURVIE, de logement, de santé, de retraites… partout toujours plus dégradantes.

CONTRE NOTRE ESCLAVAGE DE SALARIÉ partout sans cesse accru (augmentation des cadences, les remises en cause de la législation du travail, d’un travail toujours plus abrutissant, un travail qui n'a pas de sens…et au bout du compte toujours la même insécurité, la même précarité)

CONTRE LES CAMPAGNES CHAUVINES écœurantes de ces bourgeois radicaux réformistes du front national de gauche comme de droite.

CONTRE TOUS LES SYNDICATS : Les syndicats sont les gestionnaires sociaux au service de la bourgeoisie, au même titre que les partis prétendument de “gauche“ comme le PS, P“C“F  et le “Front national de gauche“ sont les gestionnaires du capitalisme !  Si les syndicats étaient ce qu'ils ont toujours prétendu être “ du côté des travailleurs“, ils n’envisageraient même pas un rendez-vous avec l’état et le patronat pour discuter de quelconques négociations,  de concession, de régression sociale et de remise en cause de la législation sociale et de la législation du travail. Ne faisons aucune confiance à ceux qui veulent neutraliser nos luttes en nous baladant, l’expérience des dernières années nous a montré que le front syndical construit  autour de principes vagues tels que la défense de l’emploi ou du pouvoir d’achat, ne vise qu’à canaliser les énergies collectives pour éviter qu’elles ne débouchent sur des conflits sociaux plus larges.Seule une grève générale unifiant les luttes politiques et sociales de toute la population peut créer le rapport de forces capable de mettre à mal les funestes projets de la bourgeoisie.

CONTRE TOUS LES PARTIS PRÉTENDUMENT OUVRIERS :  

NOUS NE SOMMES PAS DES PARTENAIRES  SOCIAUX   

 ORGANISONS NOUS À TOUS LES NIVEAUX!

N’écoutons plus ces tribuns, ces moulins à paroles de l’opposition qui nous proposent une version light de l’État, d’un gouvernement référendaire, d’une constituante, d’une 6ème République. Cela nous montre, à quel point cette bourgeoisie est prête, s’il le fallait  en cas de danger, à réformer L’ÉTAT ! (du moins sa façade).

Nous voyons  aussi dans ces campagnes “citoyennes“ qu’une partie de cette bourgeoisie, atteinte de mélenchonïte aiguë, prédicateurs de la morale citoyenne,  sont là pour chauffer le bon “Peuple Citoyens“. Leurs dénonciations de la corruption n’est là que pour leur servir d’exutoire afin de mieux berner tous ceux qui n’ont plus confiances dans cette classe politique qui en désertant les urnes expriment leur dégouts pour les partis politiques , les syndicats  et plus généralement  l'écœurement qu'ils éprouvent pour cette société, mais l’écœurement pas plus que l’indignation ne suffit !

Pour satisfaire NOS BESOINS HUMAINS, il n’y a pas de solution en demi-teinte possible

La voie à suivre est  celle de la lutte opiniâtre  unitaire sur nos propres intérêts  en  rejetant  systématiquement  les directives syndicales et en les combattant. Les syndicats ne sont pas divisés, ils poursuivent leur travail de sape, chacun d’eux étant spécialisés dans l’imposture sociale, pendant que l’un va nous promener l’autre signe les “accords entre le patronat et l’état“.

 

                                            LE CAPITALISME EST UN SYSTEME DE CRISES,

                                                    DE RAPINES, D’EXPLOITATIONS

                                                                      ACHEVONS-LE!

                                             BRISONS LA PAIX SOCIALE ET SYNDICALE

      QUE PÉRISSENT TOUS CEUX QUI CHERCHENT À NOUS LIER DAVANTAGE LES MAINS

                                  ETENDONS ET APPROFONDISSONS NOTRE MOUVEMENT!
                                              ORGANISONS NOUS À TOUS LES NIVEAUX!

 RENVOYONS LE “LEDRU-ROLLIN“  DU FRONT DE GAUCHE AUX LATRINES DE L’HISTOIRE

                                                          DÈS À PRÉSENT, SOYONS TOUT !

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 00:18


REPRENONS LES COMBATS DES  1ER MAI RÉVOLUTIONNAIRES

EN FAISANT  DE CETTE  JOURNÉE UN DÉFI A L'ORDRE CAPITALISTE

 

Si nous sommes dans la rue, ce n'est pas pour les frites ni pour les merguez, c'est pour lancer à ceux qui nous gouvernent qu’Il n'y a pas de conciliation possible entre nos intérêts et ceux de la bourgeoisie, et que s'ils ont besoin de la paix sociale pour continuer à nous imposer leurs plans d'austérités ils devront s’affronter de la colère à la guerre sociale. Nous avons suffisamment de motifs pour nous insurger. Pas la peine de les énumérer ici.  Ils signifient tous pour la plupart d’entre nous, misère sociale, misère intellectuelle, misère matérielle...

La situation catastrophique de l'économie bourgeoise ne peut en rien entraver nos luttes. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas la réforme de l'Etat de ce système barbare, ni sa version socialiste, ni stalinienne, ni mélenchoniste, ni chrétienne, ni fasciste,... mais sa destruction de fond en comble.

Le premier responsable de la situation actuelle c’est l’économie capitaliste basée sur le travail salarié et la loi de la valeur, indépendamment de ceux qui, démocratiquement ou non, ont les rênes de l’État.  

Le système capitaliste basé sur l’exploitation de ceux qui n’ont que leur force ou capacité de travail à vendre pour pouvoir survivre est en pleine crise économique (dit-il) et c’est pourquoi il est obligé (le pauvre !) de s’attaquer plus durement encore à nos conditions “d’existence”. Sur ce thème, le consensus est total entre les grandes forces politiques, de “droite” comme de “gauche”. Quant aux petites formations qui aspirent à un ou plusieurs sièges, elles n’auront pas d’autre solution que de se plier à la loi économique capitaliste si par hasard elles étaient amenées à collaborer dans un gouvernement, et même si elles arrivaient à former leur propre gouvernement un jour. En adoptant la logique du capital, on ne peut faire qu’une politique capitaliste. Et aucune réforme ne pourra empêcher que le monde de la marchandise nous écrase toujours plus et nous considère comme des déchets s’il n’a plus besoin de nous.

 De plus, qu’il résolve ou non ses difficultés, des enfants et des adultes continueront à mourir de faim ou dans des guerres de rapine capitalistes tous les jours dans le monde ; les chômeurs continueront à se débrouiller comme ils le peuvent pour survivre ; les travailleurs avec tripalium continueront à aliéner leur temps de vie pour un misérable salaire, en vendant la seule chose qu’ils possèdent, leur force de travail, étant ainsi la seule marchandise susceptible d’ajouter de la valeur à la valeur capitaliste existante. En un mot, nous continuerons à alimenter ou à contribuer à alimenter la classe capitaliste. Sans la classe travailleuse, sans ses esclaves salariés, sans le prolétariat, le capitalisme n’est rien.

 Il est donc évident que la seule solution, c’est la révolution sociale et internationale. Il est donc évident que ceux qui font partie de la masse exploitée sont les seuls qui doivent et qui peuvent changer MONDIALEMENT un système qui, en plus de dégrader l’être humain, est en train de détruire la nature de façon irréversible. Pour atteindre ce but, nous devons nous organiser, nous devons continuer à organiser des débats sur les places publiques de “nos” villes, nous devons continuer à parler et à agir sur nos lieux de travail, nous devons organiser DÈS MAINTENANT la lutte commune de ceux qui ont un travail et de ceux qui sont au chômage, nous devons tisser la nouvelle association des exploités solidaires.

Le capital n’a plus besoin d’autant de main-d’œuvre pendant 40 heures hebdomadaires pour continuer à s’accumuler. Et bien, attaquons son accumulation en imposant la réduction drastique des heures de travail avec augmentation de salaire, en ne permettant pas qu’il y ait un seul chômeur angoissé au jour le jour. Solidarité entre le prolétariat activement exploité et le prolétariat au chômage.

 Le capital dispose de ses interlocuteurs fixes pour négocier ce qui lui convient le mieux, entre patronat, État et Syndicats. Et bien, refusons leurs négociations et imposons notre propre auto-organisation pour parler, agir et décider de ce qui nous convient le mieux.

 Les forces politiques capitalistes s’opposeront par tous les moyens à un semblable mouvement social. Et bien, écrasons-les en détruisant leur État et en imposant la volonté des prolétaires auto-organisés.

 

À bas l’esclavage salarié ! Vive la société sans classes, sans État et sans frontières !

 

 

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 00:00

 

Aujourd'hui à nouveau, le capitalisme vomit sa barbarie. La crise déchaîne la férocité des capitalistes, la terreur d'Etat se renforce. Et la bourgeoisie voudrait que docilement le prolétariat se laisse museler, concède à faire des sacrifices pour satisfaire les appétits menacés de leurs exploiteurs. Un siècle après les grandes grèves prolétariennes pour imposer la journée des 8 heures, nous vivons toujours comme des forçats obligés de nous vendre dans les bagnes du travail et les syndicats, ces flics du patronat, cassent nos grèves, brisent nos luttes,... au nom d'une soi-disant lutte contre le chômage, ils font passer l'attaque des salaires, l'intensification du travail, les licenciements, l'extension du travail précaire, les exclusions du chômage,...

La situation catastrophique de l'économie bourgeoise ne peut en rien entraver nos luttes. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas la réforme de l'Etat de ce système barbare, ni sa version socialiste, ni stalinienne, ni mélenchoniste, ni chrétienne, ni fasciste,... mais sa destruction de fond en comble. Aujourd’hui nous avons affaire a une bourgeoisie aux abois (gauche et droite confondues), qui s’affrontent par nation interposée, dans une surenchère de propos chauvins, nationalistes, haineux, ils veulent à nouveau nous entraîner dans une guerre impérialiste mondiale, répondons en intensifiant nos luttes contre toutes les fractions de la bourgeoisie, contre tous les Etats capitalistes de l'ouest comme de l'est. Pour avoir la force de détruire la bête capitaliste, ses guerres, sa misère généralisée, notre condition d'esclave salarié, il nous faut dès maintenant préparer nos luttes futures à travers le monde entier. Il faut nous organiser en dehors et contre les organes bourgeois que sont les syndicats. Il nous faut réapprendre à utiliser nos armes de classe: la grève sauvage, sans préavis ni limitation d'aucune sorte; l'autodéfense ouvrière, l'armement des piquets, le sabotage de la production des stocks. Il nous faut généraliser nos luttes, nous unir au-delà des barrières capitalistes, au-delà des différences de nationalité, de sexe, de statut, au-delà des divisions sectorielles, des frontières régionales, nationales,... Nous devons refaire des 1er mai une journée de solidarité internationale, unissant tous les combats ouvriers du monde entier, en un front de classe capable de repartir à l'assaut du monde. Face aux puissantes forteresses que la bourgeoisie a édifiée et édifie encore pour la défense de sa société d'exploitation, il faut nous organiser en force révolutionnaire internationale, centralisée et centralisatrice, en parti mondial de la révolution. À l'Etat capitaliste, son parlement, ses élections, ses partis, ses syndicats, opposons notre propre organisation en classe, pour la défense de nos intérêts. Au développement de la répression anti-ouvrière, à la violence bourgeoise, répondons par l'action directe, l'organisation de la violence ouvrière. Contre l'hystérie nationaliste et les campagnes de préparation à la guerre, hissons le drapeau du défaitisme révolutionnaire, de l'internationalisme prolétarien.

Reprenons les combats des 1er mai révolutionnaires.

 

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 10:52

C'est parce que le capitalisme est un état de crise permanente que la révolution sociale est une nécessité permanente ! Toutes nos luttes contre le capitalisme seront vaines, si nous oublions que notre but est d'en finir de ce système, que notre destin n'est pas de nous suicider ni de ramasser les miettes tombées du festin de ces castes d'oligarques, mais bien d'abolir tout système d’exploitation de l’homme par l’homme !

 

La vérité de cette misère que nous subissons est que les forces productives dans l’économie du capitalisme sont devenues excédentaires par rapport aux performances des nouveaux moyens de productions. La vérité de cette misère que nous subissons est que les moyens de productions et leurs technologies se dispensent  de main-d’œuvre qualifié, et qu’ils sont facilement délocalisables dans les pays ou nos frères de classe crèves depuis trop longtemps, démunis de l’essentiel, prêt à tous les sacrifices pour une misérable poignée d’euros.

Pour que chaque lutte soit une victoire nous devons l’exporter dans la rue et qu’elle s’enfle en s’additionnant solidairement à la population! La voie à suivre est  celle d’une lutte opiniâtre  unitaire sur nos propres intérêts  en  rejetant  systématiquement  les directives syndicales et en les combattants. Les syndicats ne sont pas divisés, ils poursuivent leur travail de sape, chacun d’eux étant spécialisés dans l’imposture sociale, pendant que l’un va nous promener l’autre signe les “accords entre le patronat et l’état“.

La classe ouvrière doit combattre sans relâche et rejeter toutes les magouilles syndicales et patronales qui se trament dans son dos et en son nom! La belle trouvaille de cette chiennerie a toujours été de mettre la classe ouvrière la plus misérable du monde en concurrence avec une partie de ses frères de classe, là se situe la véritable émergence des pays dont nous parlent toutes ces crapules.

 

Arrêtons d'écouter le baratin des Montebourg et des syndicats contre les décisions légales ou "illégales" du capitalisme sur les délocalisations ou encore de fermer telle ou telle unité de production !

Arrêtons d'écouter le baratin de cette ploutocratie essentiellement composé de repris de justice, ils sont tous des Jérôme Cahuzac. Arrêtons d'écouter le baratin des syndicats et de tous les usurpateurs  mafieux qui feignent l'indignation devant les salaires outranciers des dirigeants d’entreprises alors qu’eux-mêmes s’octroient privilèges, s’enrichissent par des bakchichs, s’octroient des retraites dorées, déjouent le fisc, mentent sans vergogne et qui pris la main dans le pot s'auto-amnistie en douce par des lois qui les blanchissent de toutes leurs escroqueries … mais encore une fois, il n'y a là rien de nouveau !

Ce n'est pas contre les salaires exorbitants des "Carlos Ghosn" ni des turpitudes des Jérôme Cahuzac qu'il faut se révolter, mais contre ce système qui nous transforme d'ouvrier-esclaves pour finir dans l'isolement d’une misère sociale conduisant les plus faible d’entre-nous à se suicider !

 

 

L’ordre du capitalisme mondial est aujourd’hui à la paupérisation et à une exploitation esclavagiste des travailleurs du reste du monde afin de dégager une sur-valeur phénoménale, c’est la seule solution qui s’offre à lui pour maintenir sa domination en tant que système économique. Répandre la misère !

Nous devons rejeter le pacifisme social en occupant la rue, en établissant des liens entre les différents mouvements de lutte directement et à la base, ce n'est pas "faire le jeu du capital " que de lutter contre la classe dominante par tous les moyens" légales" ou "illégales" mais le contraire ! C'est par des luttes d'ampleurs que nous ferons reculer la bourgeoisie à condition de ne pas confiner nos luttes à son "usine" à sa "corporation ", à sa "nation" à sa "boite". Si nous ne voulons pas crever nous devons manifester plus que jamais notre solidarité de classe, cette solidarité passe par l'extension des luttes par de-là des frontières et des corporatismes !

 

Rien à faire des propos patriotiques des bourgeois du Front “national“ de gauche et du P"C"F avec leurs "Nous sommes la cinquième économie du monde, nous fabriquons les meilleures fusées du monde, le meilleur train du monde" Rejetons les propos chauvin qui nous divise comme les fameux "savoir faire des ouvriers français" ou encore de la qualité du "made in France" propos insultant pour tous nos frères de bagne sur cette terre. Plus nous serons conscients des manipulations qui cherchent à nous diviser et plus nous renforcerons nos conditions d'unité et de victoire d'en finir.

 

                                               OUI UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE.

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Pour cela, il nous faut : Refuser résolument les directives conciliatrices des syndicats et des gauchistes qui prônent  la défense de l’entreprise, du travail à horaire variable, de la production en fonction des commandes, du sauvetage par des réductions de salaire ou par des augmentations d’horaires non rétribués ! Rien à faire de contrôler le livre des comptes des entreprises, quant il suffit d’un clic de souris pour transférer  des millions d’euros !

Si nous ne voulons pas nous retrouver dans la pire des pauvretés nous devons maintenant détruire ce qui fait leurs richesses, c'est-à-dire  l’État - la nation - ses armées des militaires et civiles que sont les syndicats et toutes les associations de conciliation du rafistolage sociales qui œuvrent à  préserver la domination de cette classe de bourgeois et  de leur caste politique mafieuses ! 

 

Mettre fin à cet ignoble carnaval derrière lequel il faudrait encore nous sacrifier pour sauver les emplois en nous  appauvrissant encore plus !  Camarades, nous devons frapper un grand coup, comprendre et réaliser ce que notre force représente internationalement, prendre en main notre destin en abolissant  toute exploitation de l’homme par l’homme. Travailler pour satisfaire nos besoins et ceux de la communauté humaine, vivre pour s’épanouir et jouir de la vie, tel doit être notre objectif final.

 

GÉNÉRALISONS LA LUTTE  A TOUS LES SECTEURS POUR DÉTRUIRE CE SYSTEME D'ESCLAVAGE SALARIÉ QUI N'EN FINIT PAS DE CREVER. AUCUN SACRIFICE !

A BAS LA PAIX SOCIALE !  PROLÉTARIAT CONTRE BOURGEOISIE!

                 CREVES-LA-FAIM CONTRE BOURGEOIS !

 

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